Notre établissement situé dans la rue Stampfenbach est sans doute ce que les grandes entreprises appelleraient leur siège social. C’est l’endroit où tout a commencé.
Dès les années 1960, le coiffeur pour hommes Robert Rosenberger a ouvert son salon de coiffure au 14, rue Stampfenbach, dans le premier district.
Le décor, en partie original des années 50, donne l’impression que le temps s’est arrêté ici. C’était et demeure un lieu où, dans le calme, les cheveux des hommes sont coupés et les barbes taillées avec une qualité irréprochable.
À proximité du Central à Zurich se trouve ce lieu, qui possède une longue tradition de barberie. Le salon respire encore le charme des années 1960. Pendant près de 40 ans, Robert Rosenberger y a coupé les cheveux et taillé les barbes des hommes. Bien avant qu’ici on n’emploie le terme « barber », c’était un lieu réservé exclusivement aux hommes. Ici, on pouvait s’installer confortablement, se détendre et oublier, le temps d’un instant, l’agitation du monde extérieur. (Voir la vidéo de Robert Rosenberger)
Et c’est précisément le charme et l’ambiance que les hommes peuvent attendre aujourd’hui chez « Zürichs Finest Barbers » dans la rue Stampfenbach.
Le bar à boissons offre tout ce dont le cœur d’un homme peut rêver, du meilleur Espresso IllY à la vodka, en passant par le whisky ou la bière.
Bien sûr, chez Finest Barbers, seuls les meilleurs produits sont utilisés pour les cheveux de leurs clients. Des fournisseurs venus du monde entier approvisionnent les barbiers de Zurich.
«Chaque année, nous parcourons les plus grands salons professionnels pour barbiers à la recherche de ce qui nous distingue un peu de la concurrence. Car nous voulons toujours être à la hauteur de notre nom ‘Finest Barbers’.»
En 2024, le salon de la rue Stampfenbach a été rénové. Il a fallu installer un concept d’éclairage amélioré pour répondre aux exigences toujours croissantes des barbiers en matière de bonne lumière. Dans le cadre de ces travaux, le salon a également été repeint. Le décor reste le même qu’il y a 60 ans – simplement plus lumineux.